d'AMupcycling
Donner une seconde vie à la matière, c’est redonner un souffle au monde. Chaque œuvre d’AM-Art naît d’un regard posé sur l’ordinaire… Rien n’est inutile : tout peut devenir sculpture.
Chaque pièce naît d’un fragment oublié, d’un acier patiné par le temps, d’un objet qui a vécu avant moi.
Je ne transforme pas seulement la matière : je l’écoute, je la laisse me raconter ce qu’elle a traversé.
Mon rôle n’est pas de la dompter, mais de l’accompagner vers une nouvelle histoire — une seconde vie, une poésie forgée dans le réel.
Le feu ne détruit pas : il révèle.
La forge et la soudure ne sont pas seulement des procédés techniques ; ce sont des gestes d’écriture.
Au contact de la chaleur, l’acier se plie, se tord et trouve une nouvelle dynamique, guidé par la main mais aussi par la part d’imprévu que je laisse volontairement exister.
La transformation n’est pas une contrainte : c’est une conversation silencieuse entre la matière et l’intention.
Le feu ne détruit pas : il révèle.
La forge et la soudure ne sont pas seulement des procédés techniques ; ce sont des gestes d’écriture.
Au contact de la chaleur, l’acier se plie, se tord et trouve une nouvelle dynamique, guidé par la main mais aussi par la part d’imprévu que je laisse volontairement exister.
La transformation n’est pas une contrainte : c’est une conversation silencieuse entre la matière et l’intention.
Rien n’est perdu : chaque fragment retrouve sa voix… Ressorts, boulons, acier rouillé deviennent langage artistique.
Chaque fragment porte une histoire : marques d’usure, coups, traces, cicatrices.
Ces imperfections sont ma matière première.
Je ne cherche pas à les effacer ; je cherche à les sublimer.
Le métal raconte sa vie passée, et je lui offre une continuité.
Rien n’est perdu : tout retrouve sa voix.
L’upcycling comme acte poétique et engagé. Valoriser l’existant, refuser la surproduction, créer avec conscience.
L’upcycling n’est pas un geste technique : c’est un acte conscient.
C’est refuser la surproduction, valoriser l’existant, transformer ce que l’on a plutôt que désirer ce que l’on n’a pas.
C’est une manière d’habiter le monde, de créer avec respect, de faire dialoguer présence et sobriété.
Créer, pour moi, c’est laisser une empreinte qui ne pèse pas — mais qui touche.